5 août 2008
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Et file le jour crade au ruissellement d'or de l'astre d'été
Et passent les gestes, les paroles et les mots, du matin à la nuit, au silence des oublis
Et s'envole la musique en notes virevoltantes, tatouées au grave de nos solitudes
Et la caresse du ciel bleu-gris se suspend aux doigts de nos mortes vies
Et bave la lune au blanc de nos yeux aveugles
Et s'enroule la moite nuit au pleutre de nos désertions
Regards oubliés
Oreilles fermées
Coeurs sans âmes occupés à simplement survivre.
Ouvre donc le vin
Sers à la ronde
Que l'ivresse enfin
Nous unisse au monde!
Ut le 05/08/2008
Et passent les gestes, les paroles et les mots, du matin à la nuit, au silence des oublis
Et s'envole la musique en notes virevoltantes, tatouées au grave de nos solitudes
Et la caresse du ciel bleu-gris se suspend aux doigts de nos mortes vies
Et bave la lune au blanc de nos yeux aveugles
Et s'enroule la moite nuit au pleutre de nos désertions
Regards oubliés
Oreilles fermées
Coeurs sans âmes occupés à simplement survivre.
Ouvre donc le vin
Sers à la ronde
Que l'ivresse enfin
Nous unisse au monde!
Ut le 05/08/2008